Also available in:
Le 44e Conseil général a élu en 2022 les personnes suivantes pour siéger à son exécutif jusqu'à l'avènement du 46e Conseil général en 2028 :
Ces personnes se sont jointes à celles que le 43e Conseil général a élues précédemment pour occuper un poste à l'exécutif jusqu'à la tenue du 45e Conseil général en 2025 :
En plus de la modératrice, du secrétaire général et du modérateur sortant, Richard Bott.
L'élection de David Layton Brown (LM) a permis de pourvoir le poste qu'Alan Lai a laissé vacant à la suite de sa nomination au Centre for Christian Studies. Marlene Lightening a démissionné depuis. Teresa Burnett-Cole, Richard Bott et Catherine Glover ainsi que la modératrice et le secrétaire général composent le sous-exécutif.
À leur tour, les membres de l'exécutif ont occupé des fonctions au sein des organismes suivants :
S'inspirant des recommandations du Groupe de travail sur l'élaboration des tâches qui été mis sur pied par l'exécutif du 43e Conseil général, l'exécutif s'est mis au travail en discutant de son rôle. Ce faisant, l'exécutif a déclaré que « la gouvernance n'était pas une fin en soi, mais qu'elle est là pour permettre de réaliser l'appel et la vision de Dieu pour l'Église ».
Tout en reconnaissant que l'Église s'est toujours dotée de structures et de systèmes de gouvernance pour prendre des décisions efficaces permettant d'agir dans la poursuite de la vision de Dieu pour le monde, il est devenu nécessaire de chercher à comprendre le rôle de la nouvelle version réduite de l'exécutif. De plus, certaines attentes et pratiques de gouvernance des exécutifs antérieurs ont été instaurées à une autre époque de la vie de l'Église : où les membres étaient élus et par conséquent, pouvaient se considérer comme des représentants de groupes constitutifs au sein de l'Église plutôt que d'être appelés à gouverner au nom de tous les fidèles; où l'exécutif comptait beaucoup plus de personnes et était moins en mesure d'agir prestement et stratégiquement; et où les pratiques de gouvernance étaient le reflet de l'héritage colonial de l'Église. L'exécutif s'est engagé à chercher à jouer un rôle plus stratégique et visionnaire, à agir d'une manière digne de confiance avec l'Église dans son ensemble et au bout du compte, à aider l'Église à honorer l'appel et la vision que Dieu nous a donnés.
Il a également la ferme intention de discerner de quelle façon il peut décoloniser ses travaux et ses processus décisionnels. L'exécutif a mis sur pied un groupe de travail composé de membres élus et de membres du personnel pour guider son discernement dans la façon de décoloniser la gouvernance.
Étant donné que des tâches particulières sont confiées à l'exécutif comme le prévoit le Manuel pour agir au nom du Conseil général entre les réunions de ce dernier et qu'en raison de la nouvelle réalité, celui-ci ne se réunit qu'annuellement, l'exécutif a reconnu qu'une entité plus petite et moins dispersée est la mieux placée pour remplir plusieurs fonctions de gouvernance : discerner la façon de réaliser l'appel et la vision que Dieu a donnés à l'Église, évaluer les progrès par rapport aux objectifs, encourager et accompagner le secrétaire général, et veiller à ce que les risques soient analysés et gérés. L'exécutif a déterminé que ses tâches relevaient de trois domaines : fiduciaire, générateur et stratégique. Dan Hotchkiss fait office de conseiller en gouvernance auprès de l'exécutif.
En tant qu'exécutif, nous nous réunissons quatre fois par année : en septembre, en novembre, en février et en mai. La réunion de novembre est la seule qui se tient en personne et elle est consacrée à la planification et à une discussion stratégique sur un nombre limité de points. Lors de cette rencontre, les ministres de l'exécutif du Conseil général et les ministres des conseils régionaux en profitent pour échanger sur cette période de planification.
Nous avons le plaisir de vous offrir un aperçu des travaux que l'exécutif a entrepris.
L'exécutif collabore avec des personnes chargées du respect de l'équité afin de l'aider à respecter ses engagements. Nous avons mis sur pied un groupe de travail avec l'appui de l'unité Ministères et justice autochtones et du personnel chergé de l'équité pour travailler à l'élaboration d'un cadre sur la façon de décoloniser le processus de gouvernance. Ces travaux ont été fructueux, mais il reste encore beaucoup à faire. Pour donner suite aux appréhensions exprimées surtout en ce qui a trait à l'utilisation du terme mission, l'exécutif a demandé au Comité théologie et relations interconfessionnelles et interreligieuses d'effectuer certaines recherches pour trouver une autre formulation.
Avec l'élection du nouveau Conseil national autochtone, nous entendons bien poursuivre le dialogue et les pratiques visant à renforcer la relation entre les deux parties de l'Église. En novembre 2023, l'exécutif du Conseil général et le Conseil national autochtone passeront du temps ensemble.
Le plan opérationnel et stratégique guide les travaux de l'exécutif et constitue le cadre de responsabilisation pour l'équipe de gestion.
L'exécutif considère les soins pour l'ensemble comme une priorité absolue : comprendre et évaluer les problèmes, les joies et les possibilités des communautés de foi, de l'ordre ministériel et du personnel. Il existe plusieurs façons de prendre soin de l'ensemble : l'exécutif prie pour l'Église, il veut savoir ce qui se passe dans celle-ci en disposant de données. Il connaît les difficultés liées à la collecte de données lui permettant de prendre des décisions plus efficaces. Dans le cadre du plan opérationnel et stratégique, la direction est résolue à créer des systèmes pour recueillir et interpréter des données comme critère décisionnel essentiel.
Nous avons recruté et nommé des personnes pour constituer trois (3) groupes de travail.
Dans le cadre de nos fonctions, nous ne perdons pas de vue la directive du Conseil général, à savoir de dépenser selon nos moyens. Pour ce faire, il faut une certaine dose de discipline pour gérer les différents problèmes, la baisse des revenus, le budget des bureaux du Conseil général ainsi que les réalités des communautés de foi qui, sauf erreur, sont les premières sources de financement du ministère de l'Église. Nous apprécions le travail de l'équipe des finances sous la direction d'Erik Mathiesen et de l'équipe de philanthropie dirigée par Sarah Charters alors qu'ils continuent de récolter et de gérer les dons versés à l'Église.
Le secrétaire général présente à l'exécutif un compte rendu des activités trimestrielles portant sur les travaux du Bureau du Conseil général et notamment sur le plan opérationnel et stratégique. La modératrice produit un rapport écrit semestriel de son ministère et des bilans oraux trimestriels. De plus, l'exécutif rencontre la présidente du Conseil de retraite (Anne Soh), le directeur général de la United Property Resource Corporation [Société de gestion des ressources immobilières de l'Église Unie] (Tim Blair) et le président ainsi que le personnel du Conseil du Bureau de la vocation (Norm Seli et Marlene Brittion). Ces discussions et ces rapports offrent à l'exécutif l'occasion d'avoir une vue d'ensemble des travaux de l'Église.
En appui à l'initiative de croissance du plan stratégique, nous avons amorcé une discussion sur les changements et les perspectives qui doivent être adoptés pour assurer une possibilité de croissance.
Vous pouvez avoir accès aux propositions et aux procès-verbaux (en anglais) des réunions de l'exécutif en vous rendant à la section Commons – faites une recherche en ligne en utilisant « United Church Commons », puis sélectionnez Governance / General Council Executive / GC44 Executive (2022-2025), ou allez à United-Church.ca et en bas de la page, vous verrez le lien vers United Church Commons.