Cette bibliothèque contient les documents provenant de toutes les récentes réunions de gouvernance de l’Église Unie, y compris les assemblées du Conseil général et les réunions de son exécutif. Elle comprend également les documents de politique officielle « Nos croyances expliquées », datant de plusieurs décennies.
Au cours du dernier processus de renvoi, nous avons constaté que l’instance dirigeante est responsable du vote. Cependant, le Manuel n’indique pas clairement si seule l’instance dirigeante peut voter au sujet du renvoi ou si la paroisse peut également se prononcer.
Une modification de l’article I.1.2.4 a été approuvée au 44e Conseil général en février 2022 pour permettre aux diacres ou pasteurs et pasteures d'autres Églises de servir dans les communautés de foi de l'Église Unie lorsqu’il n’y a pas de personnel ministériel de l'Église Unie disponible pour pourvoir des postes vacants à court terme.
Bien que le Manuel indique que les conseils régionaux peuvent évaluer et reconnaître les ministères qui ne sont pas des communautés de foi traditionnelles, il ne donne pas de définition de ces ministères. La présente proposition vise à définir ces ministères.
En vertu du paragraphe J.10.9.4 du Manuel, le secrétaire général ou la secrétaire générale doit faire rapport de toutes les décisions prises par le Comité judiciaire au Conseil général. Vous pouvez prendre connaissance de la décision du Comité judiciaire, mais vous trouverez ci-dessous un survol de ses fonctions et des renseignements sur la décision, qui peut être confirmée ou renvoyée au Comité judiciaire pour réexamen.
Under section J.10.9.4, the General Secretary is responsible for reporting all decisions made by the Judicial Committee. While the Judicial Committee’s Decision is available for you to review, below is an overview of the Judicial Committee's role and details about the decision, which can either be affirmed or referred back to the Judicial Committee for further review.
Lors du 42e Conseil général, l’Église a approuvé un soutien à un processus national visant à instaurer une démarche de réparation pour le dialogue, le récit, la sensibilisation et la réconciliation avec les personnes dont l’orientation sexuelle ou l’identité de genre est différente, notamment les personnes bispirituelles, lesbiennes, gaies, transgenres ou queers.
Le Conseil général doit élire et autoriser des membres qui feront partie de l’exécutif du Conseil général, qui relève du Conseil général.
Le travail du Conseil général dépend de diverses instances qui travaillent en son nom et dont les membres sont élus ou nommés. L’Église est enrichie par la participation de ses membres et la diversité des dons qu’ils partagent.
La raison d’être de la Fondation de l’Église Unie du Canada est de favoriser une spiritualité profonde, une vie de disciple dynamique et une quête audacieuse de justice en obtenant et en déployant des ressources financières. Au moyen du renforcement des capacités, de la tenue de rencontres, de l’octroi de financement et d’une gestion consciencieuse des fonds qui nous sont confiés, nous aidons les paroisses, les ministères et les programmes qui enrichissent l’Église Unie du Canada, œuvrent à créer une planète plus juste et célèbrent l’abondance de Dieu dans le monde.
KAIROS : Initiatives canadiennes œcuméniques pour la justice est un programme de l’Église Unie du Canada qui fonctionne comme une sorte de coentreprise à vocation sociale. Il regroupe dix Églises et organisations religieuses canadiennes qui veulent agir ensemble dans la foi en faveur de la justice et de la paix. C’est le Comité directeur de KAIROS, composé de représentantes et de représentants des Églises et des organisations membres, qui gère le programme sous la houlette de l’Église Unie du Canada. Lancé en 2001, KAIROS poursuit les efforts réalisés depuis 40 ans par les coalitions interconfessionnelles qui œuvrent en faveur de la justice sociale.