Cette bibliothèque contient les documents provenant de toutes les récentes réunions de gouvernance de l’Église Unie, y compris les assemblées du Conseil général et les réunions de son exécutif. Elle comprend également les documents de politique officielle « Nos croyances expliquées », datant de plusieurs décennies.
Le Comité d’audit s’est acquitté, au nom du Conseil général, des tâches qui lui ont été confiées
Nous croyons que tous les peuples du monde, y compris les peuples autochtones, ont droit à la liberté, la paix, la justice et l’autodétermination, et que nous sommes appelés, en tant que peuple de foi, à protéger ces droits.
Israël continue d’utiliser la détention administrative comme une disposition de sa loi militaire pour détenir des milliers de Palestiniens et de Palestiniennes (dont des centaines d’enfants).
Selon Santé Canada, 21 personnes meurent d’une surdose de drogue toxique chaque jour au Canada. Parallèlement, les gouvernements provinciaux de tout le pays, en particulier ceux de la Colombie-Britannique, de l’Alberta, de la Saskatchewan et de l’Ontario, ont juré de mettre fin aux services de réduction des méfaits qui sauvent des vies, comme les sites de consommation supervisée et les services d’injection supervisée et de traitement, ou ont déjà entamé le processus.
L’Église Unie du Canada, convaincue que tous les êtres humains, en tant que créations du Saint, sont précieux et ont droit à la dignité, soutient l’égalité des droits et la primauté du droit, y compris le droit international.
De nombreux membres de l’Église Unie sont préoccupés par ce qui se passe en Palestine sous l’occupation militaire israélienne. Pourtant, ils s’abstiennent d’agir par crainte d’être accusés d’antisémitisme.
Le 44e Conseil général a demandé qu’une approche fondée sur des principes soit élaborée pour le travail effectué par l’Église Unie en matière de justice. Un ensemble de principes encadrerait les réactions de l’Église aux enjeux historiques, actuels et émergents en matière de justice sociale, de manière à ce qu’elle puisse réagir rapidement lorsque le contexte l’exige. Le 44e Conseil général 2022 a chargé le Comité théologie et relations interconfessionnelles et interreligieuses (TRII) d’effectuer ces travaux. En octobre 2023, le Conseil général a adopté le cadre en principe et a demandé au Comité théologie et relations interconfessionnelles et interreligieuses de préparer « [TRADUCTION] toutes les modifications nécessaires devant être présentées au 45e Conseil général 2025 en vue de leur adoption définitive. Ces modifications s’appuieront sur l’expérience et sur une évaluation du recours aux principes pour réagir aux situations d’injustice et aux demandes des partenaires. »
Our society is in the midst of overlapping crises, the impacts of the housing crisis cannot be separated from the increasing anti-immigrant and racist discourses and behaviours prevalent in Canada. As young people, we notice in our communities especially the impacts of lack of affordable housing and racist housing policies and practices especially on Racialized international students. As a Church we are called to notice and respond to injustice, as young people we are tasked with fighting now for a better world for us and for future generations to inherit. This proposal is important because it contributes to United Church’s goals and commitments to being and creating a diverse and just society. Housing inequality is a social justice issue and as such, the church should continue to respond in creative and meaningful ways.
Like many other faith groups in Canada, congregations of The United Church of Canada have Comme beaucoup d’autres groupes religieux au Canada, les paroisses de l’Église Unie du Canada ont toujours assumé la responsabilité de veiller à ce que leurs leaders rémunérés soient logés pendant toute la durée de leur ministère. Si, pendant des décennies, le logement était un presbytère détenu en fiducie par la paroisse, cette aide au logement a progressivement et majoritairement pris la forme d’une allocation de logement au cours des cinquante dernières années.
La répartition actuelle des groupes liés au coût de la vie (CDLV) crée des inégalités entre les charges pastorales d’une même ville. Les décisions définitives sur les appels concernant l’attribution des groupes liés au CDLV sont rendues par le Bureau du Conseil général à la lumière de données externes. Or le fait de n’utiliser que des données objectives a créé des disparités regrettables entre les paroisses d’une même communauté. Il n’existe, pour l’heure, aucun mécanisme qui permettrait à des gens connaissant les réalités de leur propre communauté de corriger ces irrégularités.